Double-je

Hommage à l'amitié

13 septembre 2019

 

Double-je marque le début de l’aventure Schweizer Fonogramm: avec trois sonates pour deux violons de Prokofiev, Honegger et Ysaÿe, nous vous proposons une rencontre avec les violonistes Raphaël Oleg ( Prix Tchaikowsky 1986) et Frédéric Angleraux qui joue un rôle central pour ce label.

Double-je est dédié au luthier lyonnais Jacques Fustier, ami proche des deux violonistes qui jouent sur des instruments créés par lui et auquel ils doivent leur première rencontre.

ATTENTION: En raison des nouvelles règles de l’Union européenne depuis juillet 2021, le client doit payer une taxe d’importation à la livraison du disque dans son propre pays. Nous vous conseillons de commander ce CD chez jpc.de. Un nouveau distributeur en France est prévu pour cet automne.

Écouter

1 - Andante

Sergueï Prokofiev - Sonate opus 56 en ut majeur

2 - Allegro

Sergueï Prokofiev - Sonate opus 56 en ut majeur

3 - Andante

Sergueï Prokofiev - Sonate opus 56 en ut majeur

4 - Presto

Sergueï Prokofiev - Sonate opus 56 en ut majeur

5 - Allegro non tanto

Arthur Honegger - Sonatine H.29

7 - Allegro moderato

Arthur Honegger - Sonatine H.29

8 - Poco lento - Maestoso - Allegro fermo

Eugène Ysaÿe - Sonate opus posth. en la mineur

9 - Poco lento

Eugène Ysaÿe - Sonate opus posth. en la mineur

10 - Allegro vivo a con fuoco

Sonate opus posth. en la mineur - Eugène Ysaÿe

Surprise :
La dernière piste sur le CD Double-je reflète une fois de plus le jeu responsif entre deux musiciens, deux esprits, deux violonistes: Luciano Berio (1925 – 2003) en est l’auteur, la pièce s’appelle Aldo et est dédiée à Aldo Bennici (*1938), violoniste et altiste italien très actif en tant qu’interprète de maintes oeuvres contemporaines. Berio avait composé plusieurs oeuvres pour cet artiste et directeur de plusieurs festivals, p.ex. Voci (pour alto solo et deux orchestres) ou Naturale (alto, percussion, bande). Aldo est le no. 24 parmi 34 pièces où figurent d’autres dédicataires comme Béla Bartòk, Igor Strawinsky, Lorin Maazel, Bruno Maderna et différents instrumentistes. Conçu comme un journal intime musical, ces ‘duettini’ ressemblent aussi à des lettres sonores destinées à différentes personnalités qui enrichissaient l’univers du compositeur italien.

Interview :

…Entendre l’autre penser…

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